Vous est-il déjà arrivé de vous poser la question "Est-ce que j'existe ?".
Moi oui, et suis arrivé à la conclusion "Je pense donc je suis". Mais aujourd'hui je me dis que si on mettait celle-ci à la forme négative "Je ne pense pas donc je ne suis pas", il y aurait un non-sens, puisque l'on pense (donc on est) que l'on ne pense pas (donc on n'est pas)...
Absurde, non ?
Donc, comment la pensée peut-elle exister si on pense qu'elle n'existe pas ? Même plus, comment peut-on penser que l'on ne pense pas ?
Il faudrait donc que la pensée ait un mode de pensée autre que la logique, puisque l'on raisonne illogiquement. Or, la première affirmation "Je pense donc je suis" repose sur la logique. Puisque la pensée est illogique,, il serait donc simple de dire que cette première affirmation, si elle est illogique, repose entièrement sur la première qui, elle, est logique. Et si la première est fausse, la seconde n'a aucun sens, aucune raison d'être, logiquement...
La pensée serait donc logique et illogique en même temps ? Comment tracer les limites ?
J'en retiens donc que j'existe, ou n'existe pas, ou les deux... Totalement illogique, que la pensée est logique, ou logique et illogique...
Serions-nous séparés en deux être dont l'un pense logiquement, donc existe ; et l'autre pense illogiquement, donc ne pense pas et n'existe pas ?
Je pense donc qu'il vaut mieux, si on ne veut devenir fou, ne pas penser à la pensée et penser sans y penser.
Et surtout, laisser la question de départ en continuel suspens...
Moi oui, et suis arrivé à la conclusion "Je pense donc je suis". Mais aujourd'hui je me dis que si on mettait celle-ci à la forme négative "Je ne pense pas donc je ne suis pas", il y aurait un non-sens, puisque l'on pense (donc on est) que l'on ne pense pas (donc on n'est pas)...
Absurde, non ?
Donc, comment la pensée peut-elle exister si on pense qu'elle n'existe pas ? Même plus, comment peut-on penser que l'on ne pense pas ?
Il faudrait donc que la pensée ait un mode de pensée autre que la logique, puisque l'on raisonne illogiquement. Or, la première affirmation "Je pense donc je suis" repose sur la logique. Puisque la pensée est illogique,, il serait donc simple de dire que cette première affirmation, si elle est illogique, repose entièrement sur la première qui, elle, est logique. Et si la première est fausse, la seconde n'a aucun sens, aucune raison d'être, logiquement...
La pensée serait donc logique et illogique en même temps ? Comment tracer les limites ?
J'en retiens donc que j'existe, ou n'existe pas, ou les deux... Totalement illogique, que la pensée est logique, ou logique et illogique...
Serions-nous séparés en deux être dont l'un pense logiquement, donc existe ; et l'autre pense illogiquement, donc ne pense pas et n'existe pas ?
Je pense donc qu'il vaut mieux, si on ne veut devenir fou, ne pas penser à la pensée et penser sans y penser.
Et surtout, laisser la question de départ en continuel suspens...